travailler le vendredi bientôt de l’histoire ancienne ?

le vendredi n’est plus un jour comme les autres dans les entreprises !

ça a commencé par le friday wear…
on connaissait déjà le friday wear cette tendance consistant à porter une tenue décontractée le vendredi, veille de week-end une micro-révolution dans certains univers professionnels guindés et cravatés, qui avait fait souffler sur les entreprises du monde entier un vent de fun et de fraîcheur au début des années 2000

ce jour béni des télétravailleurs…
le télétravail une période qui a tout changé ! car si le lundi et le mercredi ont leurs adeptes le vendredi est largement plébiscité par les salariés et les employeurs pour en faire un jour de travail à domicile désormais, un autre ennemi du vendredi pointe le bout de son nez : la semaine de 4 jours ! parmi les entreprises et les pays qui l’ont testée, devinez quel jour de la semaine est choisi en majorité pour faire office de jour off ? le vendredi, encore lui !

vendredi is the new samedi ?
inutile de trop s’emballer la généralisation de la semaine de 4 jours n’est pas pour tout de suite, le vendredi n’est pas encore le troisième jour du weekend cependant les chiffres de la fréquentation des métros et rer ont chuté de 15% le vendredi au-delà des chiffres, il suffit de prendre un bus ou circuler en voiture dans n’importe quelle grande ville un vendredi pour constater que ce n’est plus un jour comme les autres !

les entreprises sont-elles perdantes ?
à ce sujet, les études et les avis divergent une étude du bureau de statistiques américain est régulièrement citée : en télétravail, on travaillerait deux heures de moins pourtant, le conseil national de la productivité estime qu’en france le passage à 25% de télétravailleurs d’ici 20 ans pourrait faire gagner à l’économie française entre 5% et 9% de productivité ! c’est peut-être ça le secret du télétravail et du vendredi au ralenti, on travaille moins… mais on travaille mieux ! Jusqu’au jour où, peut-être, on ne travaillera plus du tout

inspirée par hellowork 

parce que recruter ne s’improvise pas