7 maladresses qui ne vous coûtent plus aussi cher en 2024

1. un style vestimentaire affirmé
on ne vous tiendra plus rigueur si vous vous présentez à un entretien en jean et veste ou habillé dans un style plus personnel (pourvu qu’il soit décent) la tolérance est devenue plus grande et une meilleure prise en compte des différences (de culture, de génération,…) est de mise

2. faire des fautes à l’écrit
la mauvaise qualité de l’orthographe d’un candidat peut toujours dénoter auprès des recruteurs un certain manque de rigueur néanmoins, la tension sur le marché aidant, tous sont réalistes et ne se priveront plus d’un profil technique brillant pour une faute d’accord dans un mail !

3. adopter un ton décontracté
de façon générale le style des échanges professionnels s’est beaucoup assoupli ils sont moins ampoulés, plus directs que par le passé, voire informels leur ton est aussi plus égalitaire et le dédain managérial n’est plus toléré

4. parler très tôt de disponibilité parentale
dorénavant les candidats évoquent leur besoin de congé paternité, de disponibilité pour leurs enfants, etc parler famille et enfants n’est plus systématiquement une maladresse

5. formuler des attentes spécifiques
dire que l’on souhaite télétravailler un jour par semaine a minima et pour une raison X ou Y n’est plus considéré comme malvenu

6. évoquer ses valeurs, son éthique et ses attentes
chercher à savoir comment une entreprise incarne les valeurs qu’elle affiche n’est pas une maladresse, mais le signe d’une bonne connaissance de ses aptitudes contextuelles

7. mentionner son appréhension
reconnaître que l’on éprouve de l’appréhension pendant un entretien est humain et non une faute en soi on acceptera d’autant mieux cette sincérité qui permet aussi de mieux « lire » un candidat et de lui poser les bonnes questions

inspirée par les échos start

parce que recruter ne s’improvise pas